LES OVNI

Un objet volant non identifié, généralement désigné sous l'acronyme ovninote 1, est un phénomène aérien que des témoins affirment avoir observé ou qui a été enregistré par des capteurs (caméra vidéo, appareil photographique, radar, etc.) sans avoir pu être identifié mais dont on ne connaît pas l'origine ou la nature exacte et qui, pour certains, restent inexpliqués même après enquête approfondie.

Le sigle anglais UFO (unidentified flying object) fournit la racine du mot « ufologue », personne étudiant le phénomène ovni. La discipline qui en découle est l'ufologie. Le soucoupiste est un amateur qui croit au phénomène ovni, par opposition aux ufologues qui défendent une approche scientifique et rigoureuse2. Les ovnis sont parfois désignés sous l'acronyme MOC, « mystérieux objet céleste »3.

Selon l'astronome J. Allen Hynek, des dizaines de milliers de témoignages ont été relevés à travers le monde4.

Dans la culture populaire, le terme ovni est généralement utilisé pour désigner un vaisseau spatial habité par des extraterrestres, et appelé soucoupe volante

Caractéristique d'un OVNI

Surface métallique avec luminosité, vitesses élevées : celles observées par Arnold présentaient une vitesse d'environ 1400 kmh, elles ont des formes et des tailles variées, enfin, elles ont la capacité d'apparaître et de disparaître instantanément en un point de l'espace.

Les différentes observation

Le 26 juin 1947, Kenneth Arnold, pilote américain, raconte sur les ondes de KWRC (une radio de Pendleton, dans l'Oregon) l'observation qu'il a faite quarante-huit heures plus tôt alors qu'il volait dans son avion privé près du mont Rainier, dans l'État de Washington. Il rapporte avoir vu le 24 juin, sans pouvoir les identifier, neuf objets en forme de galets plats, très brillants et très rapides, volant en direction du mont Adams depuis le mont Rainier. Il estime leur longueur entre douze et quinze mètres et leur vitesse à au moins 1 800 km/h. Ils volaient, déclare Arnold, « comme des oies, formant une chaîne en diagonale comme s'ils étaient attachés l'un à l'autre, en un mouvement sautillant, analogue à celui d'une soucoupe ricochant sur l'eau ».

Bien qu'Arnold ait parlé de soucoupe pour décrire les déplacements de ces objets non identifiés et non leur forme, la presse relatera qu'ils ressemblaient à des « soucoupes volantes » (flying saucers), terme qui restera définitivement associé aux ovnis. Une autre comparaison à une « assiette à tarte » (pie-plate) coupée en son milieu avec un triangle convexe à l'arrière lui vaudra également d'être la risée des médias et du public.


Le 25 juin 1947, une dépêche de l'Associated Press rédigée par Bill Bequette aura une influence considérable sur la suite des événements car l'estimation des distances et donc des vitesses (Arnold calcule la vitesse en estimant l'aplomb des objets et la distance qu'ils parcourent mais mesure le temps nécessaire pour passer d'un point estimé à un autre) paraît supérieure à celle des engins de l'époque. 

L'ASSOCIATED PRESS, BILL BEQUETTE TRAVAIL POUR EUX
L'ASSOCIATED PRESS, BILL BEQUETTE TRAVAIL POUR EUX

Cette première apparition d'ovni eut un retentissement considérable et vit se déplacer sur les lieux non seulement une foule de curieux mais aussi des journalistes, des agents du FBI et du renseignement militaire. Selon le sociologue Pierre Lagrange, c'est dans ces circonstances que les soucoupes volantes furent inventées. L'affaire Arnold enclencha une controverse parascientifique considérable à telle enseigne que l'on va soupçonner l'existence de prototypes secrets, américains ou russes, ou que des extraterrestres visitent la Terre 

Selon le sociologue Pierre Lagrange, c'est dans ces circonstances que les soucoupes volantes furent inventées. L'affaire Arnold enclencha une controverse parascientifique considérable à telle enseigne que l'on va soupçonner l'existence de prototypes secrets, américains ou russes, ou que des extraterrestres visitent la Terre 

PIERRE LAGRANGE
PIERRE LAGRANGE

Une simple observation ce transforme en véritable affaire 

Le 4 juillet 1947, Mac Brazel, propriétaire d'un ranch près de Roswell, découvre des débris sur ses terres et prévient la base militaire la plus proche. Un jeune militaire du Roswell Army Air Field (RAAF) fait alors un premier communiqué de presse, où il annonce que l'armée a découvert une « soucoupe volante » écrasée près d'un ranch à Roswell, suscitant un fort intérêt chez les médias. L'observation de Kenneth Arnold avait eu lieu neuf jours plus tôt et avait eu un écho important dans la presse si bien que les soucoupes volantes étaient présentes dans tous les esprits, y compris chez les militaires. Le lendemain, le commandement général de la base publie un rectificatif annonçant que la soucoupe volante était seulement un ballon-sonde17. Une conférence de presse est organisée dans la foulée, dévoilant aux journalistes des débris provenant de l'objet retrouvé et confirmant la thèse du ballon-sonde. L'affaire tombe alors dans l'oubli pendant une trentaine d'années, marquant la fin de la première grande vague d'ovnis aux États-Unis

En 1978, le major Jesse Marcel, qui a pris part à la récupération des débris à Roswell en 1947, déclare à la télévision que ceux-ci étaient sûrement d'origine extraterrestre et que les débris que le général Ramey (responsable de la base) a montrés aux journalistes ne sont pas ceux que Marcel lui a apportés de Roswell qui étaient selon lui en métal non identifié et comportaient pour certains des caractères d'une écriture inconnue. Il fait part de sa conviction selon laquelle les militaires avaient en réalité caché la découverte d'un véhicule spatial à l'ufologue Stanton T. Friedman. Son histoire circule chez les amateurs d'ovnis et dans les revues d'ufologie. En février 1980, le National Enquirer conduit sa propre interview du major Marcel, ce qui déclenche la re-médiatisation de l'incident de Roswell. D'autres témoins et rapports sortent de l'ombre au fil du temps, ajoutant de nouveaux détails à l'histoire. Par exemple, une grande opération militaire se serait déroulée à l'époque, visant à retrouver des morceaux d'épave, ou encore des extraterrestres, sur pas moins de 11 sites, ou encore des témoignages d'intimidation sur des témoins. En 1989, un entrepreneur de pompes funèbres à la retraite, Glenn Dennis, affirme que des autopsies d'extraterrestres ont été effectuées dans la base de Roswell. En 1991, le général Du Bose, chef d'état-major du général Ramey en 1947, confirme que ce dernier avait substitué aux débris transmis par la base de Roswell ceux d'un ballon météo, montrés aux journalistes. En réponse à ces nouveaux éléments, et après une enquête du Congrès des États-Unis, le GAO (Government Accountability Office, organisation de surveillance appartenant au Congrès) demande à l'United States Air Force de conduire une enquête interne. Le résultat de cette enquête est résumé en deux rapports. Le premier, publié en 1995, conclut que les débris retrouvés en 1947 provenaient bien d'un programme gouvernemental secret, appelé projet Mogul20. Le second, paru en 1997, conclut que les témoignages concernant la récupération de cadavres extraterrestres provenaient vraisemblablement de rapports détournés d'accidents militaires impliquant des blessés et des morts, ou encore de la récupération de mannequins anthropomorphiques lors de programmes militaires tels que l'opération High Dive, menés autour des années 1950. Ce rapport indique néanmoins que le débat sur ce qui est réellement tombé à Roswell continue, tout en précisant que tous les documents administratifs de la base pour la période mars 1945-décembre 1949 ont été détruits ainsi que tous les messages radio envoyés par la base d'octobre 1946 à février 1949. Le bordereau de destruction ne mentionne pas quand, par qui, et sur l'ordre de qui cette destruction a été effectuée. Ces rapports ont été rejetés par les partisans de la théorie extraterrestre, criant à la désinformation, bien qu'un nombre significatif d'ufologues s'accordent alors sur une diminution de la probabilité qu'un véhicule spatial extraterrestre soit véritablement impliqué

MAJOR JESSE MARCEL
MAJOR JESSE MARCEL

L'autorité américaine cache beaucoup de secrets 

Une fois arrivé proche du ranch de Roswell, l'armée américaine à essayé d'étouffer cette affaire en gardant le secret de leur découverte depuis des années, d'ailleurs même encore aujourd'hui, le secret reste intégrale, personne ne sait la vérité, pourtant beaucoup de petit curieux ont décidé de pénétrer les secrets les mieux garder des Etats-Unis mais personne n'a réussis à y entrer ou d'avoir récupérer une seul information à ce sujet.


L'ancien président des Etats-Unis Barack Obama a affirmé le 17 mai 2021 sur CBS qu'il existe des images et des vidéos d'objets que les États-Unis ne sont pas en mesure d'identifier, ni d'expliquer certaines de leurs manoeuvres, il ne veut pas trop en dire mais il doit forcément savoir des choses.

LE PROJET BLUE BOOK

Le projet Blue Book est une commission mise en place par l'US Air Force, afin d'étudier et d'enquêter sur certains témoignages sur le phénomène OVNI. Cette commission fut créée en 1952 et resta en activité jusqu'en 1969. 

Le projet Blue Book a étudié 12 618 cas et retenu 3 201 cas pour l'analyse statistique. Lors de la conférence de presse du 25 octobre 1955 le secrétaire de l'armée de l'air, Donald Quarles, annonce le chiffre de 3 % de cas inexpliqués.
Les archives du projet Blue Book comprennent 8 360 photos, 20 bobines de film (ce qui représente 6h30 de film) et 23 enregistrements audio d'interviews de témoins. Conservées jusqu'en 1974 dans les archives de l'US Air Force, les archives du projet Blue Book, sont stockées depuis 1976 aux archives nationales américaines après la censure de tous les noms de témoins. Elles sont depuis 2007 en accès libre sur le site des archives militaires américaines. L'ufologue John Greenwald Jr a converti ces documents difficiles à consulter en fichiers PDF sur son site The Black Vault

Pour faire simple le projet "BLUE BOOK" c'est une investigation approfondi sur les OVNI après que cette histoire sois devenu viral mais malheureusement le projet à été annulé

Dès 1947, l'US Air Force, pour étudier la réalité ou non de ces phénomènes, lance le projet Sign, rebaptisé projet Grudge en 1949.
En 1951, à la suite d'une importante vague de témoignages d'ovnis, l'armée décide de donner davantage de moyens au projet. Et, le 12 avril 1952, le « projet Blue Book », est impulsé sous la direction du capitaine Edward J. Ruppelt. Cette commission comporte une section d'étude, une d'enquête, un agent de liaison avec le Pentagone et des consultants scientifiques civils. À la suite d'une recrudescence des témoignages d'ovnis au cours de l'année 1952, le gouvernement commence à s'intéresser au problème de plus près et décide d'enquêter. En septembre 1953, le capitaine Ruppelt démissionne de son poste. Il publie, dès 1955, The Report on Unidentified Flying Objects, livre relatant les cas les plus significatifs qu'il a pu traiter au sein du projet Blue Book.

Le capitaine Charles Hardin reprend le commandement du projet en mars 1954. Il décide de rendre public le rapport spécial no 14 du projet Blue Book qui conclut à l'inexistence des ovnis, et qui est mis en vente auprès du grand public en octobre 1955.

Le capitaine George T. Gregory est nommé à la tête du projet en avril 1956 ; il est remplacé par le major Robert J. Friend en octobre 1958. En avril 1963, le projet Blue Book passe sous les ordres du major Hector Quintanilla. En mars 1966, plusieurs scientifiques civils du projet (dont J. Allen Hynek) prennent publiquement parti pour la réalité du phénomène ovni (donc contre la position officielle du projet Blue Book), ce qu'ils n'ont jamais réussi à prouver. Ces divergences amènent le gouvernement américain à commanditer, en 1969, un rapport d'experts auprès du docteur Edward Condon, de l'Université du Colorado afin d'établir ou non la réalité du phénomène ovni. Le rapport Condon conclut que les ovnis n'existent pas et que tous les témoignages reposent soit sur une méprise avec des phénomènes naturels, soit sur des hallucinations et que toute recherche scientifique dans ce domaine ne présente aucun intérêt. Le projet Blue Book est donc officiellement dissous en décembre 1969 et cesse toute activité en janvier 1970.

La ZONE 51

Le gouvernement américain reconnaît l'existence du complexe de Groom Lake, mais ne se prononce pas sur ce que l'on y fait. Contrairement au reste de la NAFR, la zone entourant le lac Groom est hors-limite de façon permanente au trafic aérien civil et militaire régulier. Même les pilotes de l'armée de l'air qui s'entraînent dans la NAFR sont sévèrement réprimandés s'ils s'aventurent dans la « boite » nommée R4808E entourant l'espace aérien de Groom Lake.

La sécurité au sol du périmètre est assurée par des gardes en uniforme employés par la firme EG&G qui patrouillent dans des camionnettes Jeep Cherokee blanches ou des camionnettes Ford ou Chevrolet couleur sable. L'uniforme des gardes leur a valu le surnom de « camo dudes » (mecs camouflés). Bien que les gardes soient armés de fusils d'assaut M-16 et qu'ils soient autorisés à les utiliser, aucun incident violent n'a été rapporté ; les camo dudes se contentent habituellement d'escorter les visiteurs à l'extérieur du périmètre et d'attendre le sherif du comté de Lincoln qui leur inflige une amende d'environ 600 $. Certains ont par la suite reçu des visites d'agents du FBI11 ; d'autres ont été détenus à l'extérieur du périmètre pour avoir simplement pointé leur caméra en direction de la base. Les gardes sont aidés dans leur tâche par des détecteurs de mouvements et par des hélicoptères HH-60 Pave Hawk.[réf. nécessaire]

La base n'apparaît sur aucune carte officielle du gouvernement américain ; la carte topologique de la région ne mentionne que la mine abandonnée des Monts Groom, et les cartes d'aviation civile pour l'État du Nevada montrent un grand espace restreint, mais l'incluent dans l'espace aérien restreint de Nellis. De la même façon, la page de l'Atlas National montrant les terres fédérales au Nevada ne fait pas la distinction entre la base de Groom Lake et le reste des installations de la NAFR. Avant d'être rendues publiques, les images prises par le satellite Corona dans les années 1960 ont été altérées. À la suite de requêtes du public dans le cadre de la loi sur l'accès à l'information, le gouvernement a répondu que ces clichés semblaient avoir été détruits14. Les images prises par le satellite Terra, qui étaient disponibles au grand public, ont été retirées des serveurs web, incluant le service15 de Microsoft, en 2004. Les images prises par le satellite Landsat 7 sont toujours disponibles et ce sont celles qui sont utilisées par le programme Google Maps. Des images d'origines autres que la NASA, telles que des images à haute-résolution russes et du système commercial IKONOS sont aussi disponibles.

L'un des panneaux de la route 375.

Certains logiciels commerciaux permettant aux pilotes de faire leurs plans de vols listent les coordonnées des pistes de la base de Groom Lake sous le nom de Homey, Nevada, sans toutefois en préciser la teneur.

Le gouvernement de l'État du Nevada, reconnaissant le potentiel touristique, a renommé la section de la route 375 près du village de Rachel « Extraterrestrial highway » (l'autoroute des extra-terrestres).

Bien que les propriétés fédérales à l'intérieur de la base soient exemptes de taxes, les installations appartenant aux propriétaires privés ne le sont pas. Un chercheur a remarqué que la base ne déclarait qu'une valeur de 2 millions de dollars au percepteur d'impôts du comté de Lincoln, qui est incapable d'en faire l'évaluation, n'ayant pas les accréditations nécessaires pour aller sur le site. Plusieurs résidents du comté se sont plaints que la base était un injuste fardeau pour le comté, compte tenu des coûts élevés de la surveillance policière requise et du peu d'emplois fournis aux résidents du comté - la majorité des employés de la zone 51 provenant de Las Vegas.

Le 15 août 2013, un document top-secret de 400 pages, réalisé par deux historiens de la CIA pour retracer l'historique de la base, est déclassifié sur requête d'un historien intéressé16, ce qui officialise pour la première fois, indirectement, l'existence de la Zone 51 dans le Nevada

Les mystères entourant la ZONE 51 

La connexion de la zone 51 avec les programmes secrets de recherches en aéronautique ainsi que certains rapports de phénomènes inhabituels ont amené la zone 51 au centre du folklore moderne sur les OVNIS et les théories conspirationnistes. Certaines des prétendues activités incluent :

  • que cette base appartiendrait au Directorate of Science & Technology de la CIA, à Air Force Research Laboratory et aux bureaux d'études secrets comme Lockheed Martin, société américaine d'aéronautique créatrice des réacteurs équipant les avions furtifs tels que le F-22 Skunk Works et Boeing Phantom Works ;
  • l'entreposage et l'étude d'appareils extraterrestres (incluant du matériel récupéré de Roswell), l'étude de leur équipage (vivant ou mort), et la fabrication d'appareils basés sur la technologie extraterrestre ;
  • le développement d'armement à énergie (pour l'initiative de défense stratégique ou autres) ou d'instruments de contrôle météorologiques ;
  • les réunions ou collusions avec des extraterrestres ;
  • les diverses activités reliées à un gouvernement mondial secret.

Plusieurs de ces théories concernent des installations souterraines à Groom Lake ou près de Papoose Lake. La majeure partie des installations se trouveraient sous terre et certains hangars abriteraient des monte-charges géants. En 1989, Bob Lazar a prétendu avoir travaillé à Papoose Lake sur les systèmes de propulsion d'une soucoupe volante appartenant au gouvernement américain dans un complexe qu'il nommait S-4.

Une autre théorie veut que le programme Apollo soit une supercherie et que la zone 51 soit l'endroit où l'on aurait filmé l'atterrissage sur la lune de 1969. Cette théorie semble basée sur des photos satellites russes qui montrent que certaines portions de la zone 51 et du NTS ressemblent à la surface de la Lune. En 2000, la chaîne de télévision américaine FOX diffusa un reportage sur ce sujet et déclara que cette hypothèse était fausse.

D'autres encore prétendent que durant les années 1990, les travaux les plus secrets effectués à Groom ont été déplacés vers d'autres endroits incluant Dugway Proving Ground près de Salt Lake City, Utah ou encore dans la zone 6113 une zone militaire qui serait située en Alaska et que le secret qui continue d'entourer la zone 51 ne serait maintenu que pour induire en erreur les curieux.

Dans le début des années 2000, un des plus habiles hackers du monde, Gary McKinnon soutenant ces théories, a infiltré une centaine d'ordinateurs de la NASA et de plusieurs services militaires dans le but de voler des preuves. Il affirme avoir mis la main sur des documents relatifs à la détention d'une source d'énergie infinie, découverte grâce à des vaisseaux spatiaux extraterrestres24.

Il ressort toutefois d'un rapport établi par la CIA entre 1954 et 1974 et maintenant déclassifié que le nombre des observations d'OVNI recensées dans la zone s'accrut de façon très sensible au moment où commencèrent les essais de l'avion espion U-2. Ce dernier volait à une altitude de vingt mille mètres ou plus alors que les avions commerciaux de l'époque ne dépassaient pas l'altitude de six mille mètres, ce qui a pu induire les observateurs en vol ou au sol en erreur. Le programme U-2 étant à l'époque confidentiel personne ne pouvait expliquer aux témoins ce qu'ils avaient vu

Plusieurs témoignage décrivent l'existence des OVNI

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